- Détails
- Écrit par SG
"Dimensions of specimens for tensile testing according to standards : Thermoplastics and thermosets"

L0 = Longueur de référence
L = Ecartement entre outillages
l1 = Longueur de la partie calibrée étroite
L2 = Ecartement entre les parties parallèles larges
l3 = Longueur totale
b2 = Largeur dans la zone d'épaulement
b1 = Largeur dans la zone de la longueur de référence
h = épaisseur de l'éprouvette
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Norme
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Type d'éprouvette
|
l3
|
l1
|
b2
|
b1
|
h
|
L0
|
L
|
Forme
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|
ISO 3167
|
A
|
> 150 (170)
|
80 ± 2
|
20±0,2
|
10±0,2
|
4±0,2
|
-
|
-
|
Haltère
|
|
ISO 3167
|
B
|
> 150
|
60 ± 0,5
|
20±0,2
|
10±0,2
|
4±0,2
|
-
|
-
|
Haltère
|
|
ISO 527-2
|
1A
|
> 150
|
80 ± 4
|
20±0,2
|
10±0,2
|
4±0,2
|
50 ± 0,5
|
115
|
Haltère
|
|
ISO 527-2
|
1B
|
> 150
|
60 ± 0,5
|
20±0,2
|
10±0,2
|
4±0,2
|
50 ± 0,5
|
L2 +5 ; L2=106….120
|
Haltère
|
|
ISO 527-2
|
1BA
|
> 75
|
30 ± 0,5
|
10±0,5
|
5±0,5
|
> 2
|
25 ± 0,5
|
L2 +2 ; L2=58±2
|
Haltère
|
|
ISO 527-2
|
1BB
|
> 30
|
12 ± 0,5
|
4±0,2
|
2±0,2
|
> 2
|
10±0,2
|
L2 +1 ; L2=23±2
|
Haltère
|
|
ISO 527-2
|
5A
|
> 75
|
25 ± 1
|
12,5±1
|
4±0,1
|
> 2
|
20 ± 0,5
|
50 ± 2
|
Haltère
|
|
ISO 527-2
|
5B
|
> 35
|
12 ± 0,5
|
6±0,5
|
2±0,1
|
> 1
|
10±0,2
|
20 ± 2
|
Haltère
|
|
ASTM D638
|
I
|
> 165
|
57 ± 0,5
|
19+6,4
|
13±0,5
|
3,2±0,4
|
50 ± 0,25
|
115± 5
|
Haltère
|
|
ASTM D638
|
II
|
> 183
|
57 ± 0,5
|
19+6,4
|
6±0,5
|
3,2±0,4
|
50 ± 0,25
|
135 ±5
|
Haltère
|
|
ASTM D638
|
III
|
> 246
|
57 ± 0,5
|
29+6,4
|
19±0,5
|
7 …. 14
|
50 ± 0,25
|
115 ±5
|
Haltère
|
|
ASTM D638
|
V
|
> 63,5
|
9,53
|
9,53+3,1
|
3,18±0,5
|
3,2±0,4
|
7,62
|
25,4±5
|
Haltère
|
|
ASTM D638
|
IV
|
> 115
|
33 ± 0,5
|
19+6,4
|
6±0,05
|
3,2±0,4
|
25 ± 0,13
|
64,5±5
|
Haltère
|
|
ASTM D638
|
M-I
|
> 150
|
60 ± 0,5
|
20 ± 0,5
|
10±0,5
|
< 10
|
50 ± 0,25
|
115±5
|
Haltère
|
|
ASTM D638
|
M-III
|
> 60
|
10 ± 0,5
|
10 ± 0,5
|
2,5±0,5
|
< 4
|
7,5±0,2
|
25 ±5
|
Haltère
|
|
ASTM D638
|
M-II
|
> 115
|
33 ± 0,5
|
25 ± 0,5
|
6±0,5
|
< 4
|
25 ± 0,5
|
80±5
|
Haltère
|
- Détails
- Écrit par SG
| Modèle 1301 | ||||||||||||
|
Acier doux |
Acier 8.8 |
Acier 10.9 |
Acier 12.9 |
Zingue blanc |
Zingue bichro |
Inox A2 |
Inox A4 |
Nylon | Laiton | Cuivre | Alu |
Acier Hte rés |
| x | x | |||||||||||
- Détails
- Écrit par SG
| La croix de malte est un dispositif mécanique permettant de transformer un mouvement de rotation continu en une rotation saccadée. Son nom provient de sa ressemblance avec la croix de Malte. En anglais ce mécanisme est connu sous le nom "Geneva drive" (de la ville de Genève). Inventé en 1896 par Jules Carpentier pour les appareils cinématographiques des frères Lumière, ce dispositif à été perfectionné. Il est notamment utilisé dans les projecteurs de cinéma pour l'avance de la pellicule dont chaque image doit s'arrêter devant la lampe, et les compteurs mécaniques où il permet l'alignement des chiffres. On retrouve également ce mécanisme dans des automates qui nécessitent des phases d'immobilisation lors du processus. |
|
Fonctionnement :
| Un disque tourne avec une vitesse uniforme, et porte un doigt. Quand ce doigt pénètre dans une rainure de la croix de malte il provoque sa rotation d'un nième de tour, n étant le nombre de rainures de la croix. Quand le doigt sort de la rainure, le disque moteur continue sa rotation alors que la croix de malte s'immobilise. L'évidement du disque moteur permet de stabiliser la croix quand le doigt n'est pas engagé dans une rainure. Étude cinématique : Soient φ l'angle BAC et ψ l'angle CBA. |
|
On a : AC.sinφ = BC.sinψ.
et AC.cosφ + BC.cosψ = AB
En déduire la relation ψ = f( φ ). On peut noter que pendant les phases de mouvement, la vitesse de rotation de la croix n'est pas uniforme. Pour une croix à 4 rainures, celle-ci reste immobile pendant les 3/4 du temps. Pour obtenir un fonctionnement sans à-coup, il faut que l'angle ACB soit égal à 90° au moment ou le doigt s'engage dans la rainure. Cette condition impose une relation entre les dimensions des éléments du dispositif.
Si R est le rayon AC, La distance AB doit-être égale à R / sin(π / n) et le diamètre externe de la croix à (AB2 − R2)½.
- Détails
- Écrit par SG
| Modèle 1302 | ||||||||||||
|
Acier doux |
Acier 8.8 |
Acier 10.9 |
Acier 12.9 |
Zingue blanc |
Zingue bichro |
Inox A2 |
Inox A4 |
Nylon | Laiton | Cuivre | Alu |
Acier Hte rés |
| x | x | |||||||||||
- Détails
- Écrit par S.G
Fixation axiale
Principe général :
Afin d'éviter aux roulements d'une même ligne d'arbre une opposition mutuelle due aux tolérances de fabrication ou aux dilatations, un seul palier, appelé « palier fixe », assure la position axiale de l'arbre.
Les autres paliers, appelés « paliers libres », prennent d'eux-mêmes leur place.
NOTA : Pour les roulements à rouleaux cylindriques ou à aiguilles, la mobilité axiale est assurée par le roulement lui même. Dans ce cas, les deux bagues du roulement sont fixées
Exemples de fixation axiale
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Maintien par épaulement (arbre-logement) |
Maintien par anneau élastique et épaulement |
Maintien par anneaux élastiques |
Exemples d’application
Arbre tournant, charge de direction fixe :
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Les deux bagues intérieures sont maintenues latéralement. Un des roulements a sa bague extérieure coulissante afin de lui permettre de prendre librement sa place. La rondelle de réglage est nécessaire.
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Logement tournant, charge de direction fixe :
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À l'inverse du cas précédent, ce sont les deux bagues extérieures qui sont maintenues axialement. La bague intérieure d'un des roulements est coulissante. Le maintien axial de la bague intérieure du roulement fixe par écrou à encoches et rondelle frein assure une excellente sécurité.
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Mobilité axiale par le roulement :
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Pour les roulements à rouleaux cylindriques ou à aiguilles, la mobilité axiale est assurée par le roulement lui-même. Dans ce cas, les deux bagues du roulement sont fixées. |
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Hauteur minimale des épaulements
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r min. |
0,15 |
0,2 |
0,3 |
0,6 |
1 |
1,1 |
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|
r1 max. |
0,1 |
0,2 |
0,3 |
0,6 |
1 |
1 |
|
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h min. |
0,6 |
0,8 |
1 |
2 |
2,5 |
3,25 |
|
|
r min. |
1,5 |
2 |
2,1 |
3 |
4 |
5 |
|
|
r1 max. |
1,5 |
2 |
2 |
2,5 |
3 |
4 |
|
|
h max. |
4 |
4,5 |
5,5 |
6,5 |
8 |
10 |
Charge axiale dans un seul sens ou aucune charge axiale
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Il est possible, pour simplifier la construction, de se contenter d'appuyer les bagues sur des épaulements. Les roulements sont montés en opposition. Le roulement qui supporte la charge axiale a ses deux bagues en contact avec les épaulements correspondants. On prévoit, afin d'éviter des contraintes dues aux tolérances de fabrication ou aux dilatations, un jeu J égal à quelques dixièmes de millimètres entre la bague coulissante et son épaulement. |
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Roulements à contact oblique
Montage en O Montage en X
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Montés en opposition. La position axiale de l'arbre est déterminée par les deux roulements. Les conditions de montage obéissent à des règles particulières. Pour les cas usuels, on distingue deux principaux types de montage : le montage en X (il est habituellement utilisé dans le cas d'un arbre tournant) ; le montage en 0 (il est habituellement utilisé dans le cas d'un logement tournant). Le montage de ces roulements nécessite un réglage du jeu de fonctionnement. Il doit être effectué en agissant sur les bagues coulissantes des roulements.
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Montage en O
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Montage en X
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Arbre court tournant, charge de dilection fixe
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Le réglage du jeu de fonctionnement est effectué à l'aide de cales de réglage en clinquant. Ces cales peuvent être avantageusement remplacées par une cale pendable* (précision du réglage 0,05).
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Arbre long tournant, charge de direction fixe
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Si les roulements sont à une grande distance l'un de l'autre, on évitera les contraintes dues à la dilatation en effectuant le serrage axial par l'intermédiaire d'un dispositif élastique (ressort hélicoïdal, rondelle élastique Ringspann, rondelle Belleville, patin de caoutchouc, etc.). Pour les roulements à billes à contacts oblique, il existe dans le commerce des rondelles spécialement étudiées. Ces rondelles permettent en outre un rattrapage automatique du jeu de fonctionnement. Elles amortissent efficacement le bruit pour les arbres tournant à grande vitesse. La rondelle élastique doit être montée de manière à s'opposer à l'effort axial le plus faible. |
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Logement tournant, charge de direction fixe
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Le réglage simple et précis du jeu de fonctionnement est obtenu par un écrou à encoches et une rondelle frein. Afin d'obtenir une pression de contact uniforme, il est nécessaire d'interposer entre la rondelle frein et la bague intérieure une rondelle plate. Cette rondelle est également immobilisée en rotation par une languette qui se loge dans une rainure de l'arbre.
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Butée à billes
Une butée à billes ne supporte que des charges axiales.
Une butée à billes ne peut guider un arbre en rotation.
Il en résulte que le support des charges radiales et le guidage en rotation doivent être assurés par des roulements ou par un palier lisse (suivant la valeur des charges et de la vitesse).
La tolérance H8 du logement détermine avec la (ou les) rondelle-logement un ajustement « libre ».
Le montage d'une butée à billes sur un arbre horizontal nécessite quelques précautions particulières (voir l'exemple suivant).
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Butée à billes à simple effet |
Butée à billes à double effet |
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